Au-delà de la santé humaine, c’est notre environnement qui en fait les frais : les pesticides se retrouvent aussi bien dans l’air que dans le sol et dans l’eau, et c’est par conséquent toute la chaîne alimentaire qui est impactée.
Favoriser les auxiliaires
Favoriser les auxiliaires fait partie des solutions alternatives à l’utilisation des produits phytosanitaires grâce à la restauration des équilibres biologiques. La présence de certaines espèces (coccinelles, abeilles…) permet de lutter de manière naturelle contre les espèces indésirables et de se passer ainsi de l’emploi de produits chimiques !
Accepter les plantes indigènes
L’abandon des produits phytosanitaires chimiques contribue à la préservation de la flore locale car il laisse une végétation spontanée propre au site se développer. Cette flore spontanée est souvent mal perçue par les citoyens mais s’avère en réalité être un allié naturel dans une démarche zéro phyto.
Le désherbage écologique
Utilisés massivement depuis de nombreuses années, les désherbants chimiques représentent un véritable danger pour l’environnement mais également pour notre santé. Au-delà de la plante indésirable, c’est toute la faune présente qui est impactée, et par conséquent, des maillons entiers de la chaîne alimentaire. Les usagers des sites traités chimiquement sont aussi impactés et de plus en plus d’études présentent les effets nocifs des contacts avec les produits phytosanitaires.
Lutter contre les maladies et les ravageurs
Les maladies et les ravageurs font partie des pires ennemis du jardinier dans le cadre d’une gestion en zéro phyto. Mais des techniques écologiques préventives ou biologiques existent et ont fait leur preuve !