Qui êtes-vous ?

Yannick Carteron

Quel est votre domaine d’activité (professionnel ou étudiant) ?

Travail dans le secteur de la santé : infirmier

Comment avez-vous découvert la LPO et il y a combien de temps environ ?

Découverte par moi-même en m’intéressant au nourrissage des oiseaux, il y a 20 ans environ.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de donner de votre temps à la LPO ?

Passion pour la nature, pour les paysages, mettre des noms sur les chants entendus. L’envie de me sentir utile sur des actions concrètes de défense de la biodiversité, améliorer les connaissances naturalistes et aider a faire des études de terrain aux alentours de chez moi. Puis l’investissement dans l’association en tant que bénévole actif sur d’autres missions plus administratives. Et enfin profiter de mes connaissances acquises pour explorer d’autres horizons, à l’étranger etc…

Aviez-vous des connaissances naturalistes avant de vous engager en tant que bénévole avec la LPO ?

Aucune.

Quelle a été votre première action avec l’association et quelle(s) action(s) effectuez-vous actuellement ?

Première action concrète est l’aide administrative pour la fête de l’oiseau.
A ce jour bénévole actif sur shoc, stoc, vigie chiro et sterf en 2026.
Aide ponctuelle sur suivis milans, busards et chauves-souris et autres en fonction des demandes des salariés (moineaux friquets, petites chouettes de montagnes).
Participation a de nombreux chantiers nature (Sapia, Boisset Saint Priest, marathon de la biodiversité).
Membre du CT depuis 2024 et référent sur les libéralités.

Comment votre parcours de bénévole à la LPO a-t-il évolué ?

Au fil des années, en améliorant mes connaissances ornithologiques et en m’intéressant aux actions de la lpo.

Qu’est-ce que vous apporte ou vous a apporté cette expérience ?

Sur le long terme, de bonnes bases naturalistes pour aider la lpo au mieux sur le terrain. Toujours le même plaisir d’observation de la nature, celle-ci est pleine de bonnes surprises.

Un souvenir ou une anecdote à partager ?

Des tas d’anecdotes et des souvenirs. Quelques coches au hasard des balades sans prévoir, tels que le jaseur boréal dans Pilat, ou le pygargue a queue blanche en Haute Savoie avec des températures peu clémentes. Le retour de la pie grièche grise aussi redécouverte a Saint Genest Malifaux. Le chant des petites chouettes de montagne. La découverte des premiers nids de milans lors des premiers suivis. Les souvenirs ne manquent pas.

Avez-vous un message à faire passer ?

Il faut toujours y croire. J’aime bien les messages d’espoir de nos éminents biologistes notamment celui de Olivier Hamant, la robustesse a l’épreuve, s’inspirer de la nature pour vivre dans un monde incertain.